Pas Mal du tout!!!
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Petite baston, en noir et blanc, tout en portes jarretelles. Assez estètique.
À la fin des années 40 et au début des années 50, des clubs tentent de s'affranchir des restrictions
légales sur la photo de nu, en promouvant des « photos artistiques » à la limite de l'érotisme.
Page devient rapidement un modèle populaire dans ce milieu et en 1951 apparaît dans des magazines comme Wink, Titter, Eyefull et Beauty Parade.
Elle rencontre le photographe Irving Klaw en 1952 et devient grâce à lui, l'étoile montante de l'érotisme underground. Elle apparaît dans des mises en scène bondage et sadomaso en noir et blanc.
En 1957, elle arrête tout et se tourne vers la religion. Durant les années 1960 elle travaille pour diverses organisations religieuses. Et là, franchement, ça m'interresse beaucoup moins.
Ce qu'il faut avouer c'est cette bimbo, bien qu'elle soit morte dans l'oubli, a influencé une bonne partie des looks fétiches et surtout le style de pas mal de meuf. Et c'est tant mieux.
Fini le blabla!! Voilà du bon gros cul.
Je vais commencer par une vid plutôt soft. Cette petite indienne est carrément parfaite, elle est fine à des seins plutôt lourds est parfaitement dessiné, des hanches
parfaites et suce goulûment et à fond.
Pour ceux qui ne connaissent pas bien le bondage cette vidéo est parfaite.
AH OH HUM, le bondage... Avant de vous proposer quelques vidéos bien bandantes, Mc Dirty Salace vous propose comme à son habitude un petit topo sur cette pratique
que j'affectionne en tant qu'actif (j'aime bien ligoter mais pas qu'on me le fasse), une tite définition, l'historique, et bien entendu quelques photos de jolies créature.
Alors qu'est ce dont que le bondage...
Tintintin la défénition (Wikipedia):
Le bondage est une pratique érotique qui consiste à immobiliser le corps de son partenaire généralement au
moyen de cordes, mais le terme peut parfois être utilisé pour l'utilisation de tout autre accessoire de contrainte.
L'étymologie de l'anglais archaïque signifie servage, asservissement, esclavage.
La forme la plus connue du bondage est celle, popularisée au Japon, consistant à ligoter son partenaire à l'aide de cordes,
mais on peut également le pratiquer avec tout autre accessoire de contrainte : menottes, lanières en cuir, bande adhésive, etc.
L'immobilisation complète du partenaire n'est pas nécessairement recherchée. On parlera ainsi de bondage des bras, des jambes, du torse/des seins, de la taille, et ainsi de suite.
Cette forme particulière de sexualité est souvent assimilée au sadomasochisme. Pourtant, si beaucoup la pratiquent dans le
cadre du BDSM, certaines communautés tiennent à s'en distinguer. Ils pratiquent le bondage isolément, comme un but en soi (souvent esthétique) et non comme
un moyen, et hors d'une relation de domination psychologique ou de sadomasochisme. Ils désignent souvent leur activité sous le nom de bondage
pur (en anglais soft bondage).
Au Japon, la pratique du bondage se décline sous le nom de Shibari, verbe signifiant
attacher, ou Kinbaku, substantif signifiant ligotage ; elle est issue d'une tradition historique militaro-policière.
D'abord à titre de châtiment institutionnel, un long cheminement lui a permis de transcender les supplices dans l'art, puis dans l'érotisme.
Après les photos et le petit topo, un peu d'action...
Un petit broute minou pour le début.
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