Jeune et salope magazine
"Mégapoles surpeuplées, transports saturés, violence des rapports sociaux, totale soumission à la hiérarchie masculine : les Japonais, c’est bien connu, vivent comme des fourmis. Inépuisable créativité, solidarité nationale, coutumes séculaires, sens de l’honneur et du service, perfectionnisme, discrétion et politesse : le Japon, c’est une évidence, est le joyau de l’Extrême-Orient. Paradoxe ? Peut-être. Incompréhension ? Certainement. Qu’on ne s’y trompe pas : l’Archipel, sorti exsangue de la Seconde Guerre mondiale, est devenu en l’espace de quelques décennies la deuxième puissance économique planétaire, le pionnier des innovations technologiques, une référence culinaire et un formidable creuset artistique.
Pourtant, il demeure un nain politique et diplomatique. Cette contradiction, entre un rayonnement commercial, technique ou culturel et un pouvoir d’influence géostratégique étriqué, reflète l’ambivalence polymorphe de la civilisation nippone. Le Japon, qui cultive les contrastes, qui s’enorgueillit de marier harmonieusement modernité et traditions ancestrales, paraît illisible."
Les japonais Karyn Poupée
Comme l'écrit si bien Karyn, le japon est terre de contraste et tout particulièrement dans sa sexualité. Soumis au travail, le japonnais devient dominateur dans son intimité. Mêlant ivresse et perversion. Amateur de très jeune femme dans une pornographie où la vue du pénis est interdite et compensée par des hectolitres de foutre.
Les cris de jouissement ressemble plus à des cris de femme violée que d'un bon orgasme et je vous ne parle même pas des maga X qui ne sont que grosse domination d'écolière et rivière de semence sur leur corp frêle.
Le japonnais tiens le haut du podium du gros cochon y a pas photos.
J'ai donc envie de parler en particulier du Bondage Japonais, bien sûr ce n'est qu'un prétexte pour y caser des bonnes grosses photos de culs et de jeunes femmes soumises.
Le shibari (mot qui signifie « attaché, lié ») est l’Art érotique du Bondage japonais, parfois aussi appellé kinbaku (littéralement « bondage »).
Le bondage japonais tirerait ses origines du XVe siècle, où il était pratiqué par les militaires comme méthode de torture pour les prisonniers. La méthode de ligotage variait selon le rang du captif, et les samuraï ne pouvaient être encordés que par des personnes spécifiques afin de ne pas entraver leur honneur. Déjà à l’époque, le but était d’obtenir un résultat qui soit beau à regarder.
Le bondage érotique en tant que tel n’apparaît qu’au XXe siècle, et c’est seulement à partir des années 90 que le kinbaku prend l’appellation de shibari désormais répandue.
Contrairement au bondage occidental qui n’est que pure et simple domination et parfois source de souffrance, le shibari se veut d’être un art de beauté et de sensualité. En effet, la façon de lier les cordes doit avant tout être esthétique! Il ne s’agit pas d’un simple ligotage, mais bel et bien d’une recherche d’esthétisme dans la façon de ligoter la personne.
De même, l’entrelacement des cordes se fait sur des points spécifiques, apportant non pas le sentiment d’être entravé, mais bel et bien une sensation de bien-être et de massage, en s’appuyant sur les centres d’énergie pour les stimuler.
Les cordes mesurent le plus souvent 6 à 8 millimètres de diamètre, mais peuvent parfois aller jusqu’à 12 millimètres pour les plus épaisses. Elles mesurent plusieurs mètres de long, les longueurs étant variables. Les plus courtes font généralement 3 – 4 mètres ; les plus longues utilisées dans les techniques traditionnelles peuvent faire 10 à 15 mètres, parfois même 20.
Les noeuds quant à eux ne sont pas de vrais noeuds ; le plus souvent, ce sont des noeuds coulants ou des noeuds de blocage, qui peuvent eux aussi servir à renforcer l’esthétisme de la figure.
Les techniques sont diverses et variées : la position la plus connue consiste à avoir les mains liées derrière le dos, avec les cordages enlaçant bras et poitrine ensembles. Ceci dit, des formes plus complexes peuvent être créées, les cordages descendant parfois jusqu’aux pieds ; et toutes les positions sont possibles (les japonais préférant le plus souvent les positions asymétriques). Généralement, les cordages prennent des formes géométriques sur le corps, toujours dans cette recherche d’esthétisme.
Jeu 17 déc 2009
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