Jeune et salope magazine
Bon je sais, v'la un article de plus sur les suicide girls, on connait tous ce super site mais je ne peux pas passer à côté de mon envie de diffuser quelques jolies chattes tatouées.
Pour ce qui ne connaisse pas, Suicide Girls, nommé aussi SG, est une communauté de petites coquines tatouées, un peu rebelles, un brun féministe et sorties des courant underground.
SG a été créé en 2001, par un photographe et quelques copines.
En effet, le projet de ce site est "Redefine Beauty" autrement dit "redéfinissons la beauté". Et pour ce faire, quelle meilleure façon que montrer des strip-tease de filles "réelles" et surtout avec quelque chose à exprimer ?
Cette idée se définit dans la lignée des pin-up, de Playboy et de la photographie érotique mêlés à toute une culture underground.
Filles tatouées, piercées, colorées, et autres modifications corporelles, ce site se démarque dès ses premiers temps par sa façon de mettre en scène des femmes qui ont fait des choix et les assument !
Des choix esthétiques certes, mais aussi de vie : punks, tatoueuses, goths, végétariennes, skateuses,
féministes... bref ce qui importe avant tout, pour être une Suicide Girl, c'est d'oser, d'assumer, et d'être "soi même" comme le prônent les créateurs du site.
C'est à la fois une marque et une entreprise florissante mais qui se définit comme une communauté de femmes (et d'hommes) partageant un même idéal de vie qui combine le do it yourself (faites-le vous même) de la culture underground et une vision positive de la sexualité.
L'idée fondatrice est la conviction que l'intelligence, la personnalité et la créativité ne sont pas incompatibles avec la beauté et le jeu de la séduction, bien au contraire.
Le terme lui-même semble désigner une attitude de « suicide social » par le non respect des conventions.
Le nom Suicide Girls vient du roman de Chuck Palahniuk, Survivant.
Avec un démarrage discret le site prend très vite de l'ampleur et gagne en qualité. Le nombre de sets publiés varie de 2 à 4 par jours, et les commentaires se chiffrent en milliers.
Des évènements s'organisent (beaucoup aux USA, quelques uns en Europe, parfois en France) pour permettre aux Suicide Girls et membres de se rencontrer, de promouvoir le site...
Sur le site, chaque Suicide Girl dispose d'une page personnelle avec une description personnelle, ses photos, un blog... Les Suicide Girls sont plus de 1 900 dans le monde, mais encore pour la plupart américaines. Quelques françaises ont rejoint le groupe. Aux États-Unis, il s'agit d'une véritable révolution et le nombre de fans ne cesse de croître.
C'est une entreprise florissante. Le site internet revendique un trafic d'un million de visiteurs chaque semaine et 300 000 adhérents au total[1]. Mais l'entreprise a également créé une marque de vêtements, un livre (2004) vendu à plus de 100 000 exemplaires, des DVD...
Deux documentaires ont été réalisées par les Suicide Girls elles-mêmes : SuicideGirls : The First Tour; et SuicideGirls : The Italian Villa. Ce dernier a été diffusé sur la chaîne câblée américain Showtime. Dans la culture populaire, plusieurs Suicide Girls apparaissent dans les séries Les Experts : Manhattan et Californication.
Mais alors pourquoi ai je parlé de pornographie? Alors qu'à part se dessaper ces jeunes fille ne sucent pas de queue. C'est tout simplement que les SG ont induit un courant voir un tsunami de vidéo alternative où de jeunes salopes (ah on y arrive) tatouées, goths, skateuses, se tapent de bonne partie de baise et c'est exactement là que je veux en arriver, à force de fantasmer sur ces petites nymphettes tatouées intouchables feministes, leurs messages a été détourné et halte au féministe sainte ni touche et place à ce que l'on préfère: des jeunes salopes, soumises ou dominatrices qui nous donnent des scène de cul bien bandantes et bien grasse.
Sources: wikipedia / roomantic.fr
Punk Rock Pinup Girls
Lun 21 déc 2009
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